vendredi 9 décembre 2011

On compte sur l’argent.


Une belle dame qui fait rêver un homme. Banal vous me direz.
Certains répondront que s’il s’agit d’un de Vinci alors tout est changé.
Pourtant c’est toujours  la même histoire.  Toujours tant de difficultés pour authentifier les Léonards. Surtout que certains ont tendance à s’évanouir d’eux même à cause de la résistance plutôt médiocre de sa tempera. (technique utilisant le jaune d’oeuf pour lier les pigments et créer la peinture)

































En tout cas, les foules se déchaînent (enfin dans le monde plutôt restreint de ceux qui vont tous les week-ends se balader aux ventes aux enchères).

En effet  le bruit cours que le petit chanceux  Peter Silverman  détient un tableau qui vaut maintenant plus de 100 millions: la belle princesse.
Les scientifiques avec leur lumière ont révélé leur indice.  Pascal Cotte et Jean Pénicault du labo Lumière Technology à Paris peuvent ainsi, par exemple, nous dire que comme Léo le peintre est gaucher. Ils ont également trouvé trois trous qui laissent penser à David Wright (historien de l’art) que ce « tableau » proviens des « Sforziades ». Or les historiens voient ce portrait comme un intrus au milieu des codex sur parchemin contant l’histoire des Sforza de Milan.
Quoi qu’il en soit encore une fois une belle jeune femme fait parler d’elle des 100aines d’années après sa mort grâce à Léonard. Et celle-ci n’a même pas encore été kidnappée. Alors le point commun des tableaux de Léo,  avant le sfumato, avant la douceur et la précision des traits sans parler de la perfection des formes, c’est quand même leur capacité à attirer les millions.



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